Construite dans les années 1930, la tour d'aiguillage Wellington a cessé ses activités en 2000. Malgré les années qui ont passées et les graffiteurs qui sont venu s'y exprimer, la structure de la vieille tour est encore bien droite. Lorsqu'elle...
Au Québec, on en a construit plus de 1000, mais aujourd'hui, il est reste à peine 88. Les ponts couverts, véritable vestige d'une époque résolue, ne sont malheureusement mal adaptés à notre vie moderne. À l'origine, on les appréciait pour diverses raisons. Premièrement, ils étaient construits avec une ressource abondante, le bois, mais ils permettaient surtout à leurs propriétaires de faire payer ceux qui désiraient l'emprunter.
Malheureusement, au fil des ans, plusieurs ont été laissés à l'abandon, vandalisés ou emportés par des crues déchaînées. Alors qu'en 1965, il en restait 245, ce nombre a dramatiquement baissé pour atteindre le nombre de 91 à la fin des années 1990.
Aujourd'hui, le ministère des Transports a la mission de les inspecter et de voir à leur entretien, ce qui stoppé l'hémorragie. Si certains sont encore carrossables, d'autres ont été adaptés pour le vélo (comme le pont Perrault à Notre-Dame-des-Pins en Beauce) ou transformés en halte routière où on peut pique-niquer.
Les ponts de métal tel que celui ci-haut représenté ne sont pas sans rappeler les ponts ferroviaires. Rares sont ceux qui sont reconstruits à l'identique. Lorsque leur structure est jugée trop risquée, ils sont condamnés ou remplacés par des structures de béton moderne, mais ô combien standard et sans goût esthétique.
Construite dans les années 1930, la tour d'aiguillage Wellington a cessé ses activités en 2000. Malgré les années qui ont passées et les graffiteurs qui sont venu s'y exprimer, la structure de la vieille tour est encore bien droite. Lorsqu'elle...