Popularisé par l'émission Infoman de Radio-Canada, l'ancien consulat irakien de Montréal est abandonné depuis 1980. Construite 18 ans plus tôt par l'architecte Jacques Vincent, la maison est vendue au consulat d'Irak en 1979 pour la somme de 365...
Situé en pleine campagne au milieu d’un territoire où l’Homme a cédé la place aux moustiques et autres mouches noires qui vous dévore jusqu’à l’os, le plateau de tournage est composé de cinq maisons, une église et de plusieurs bâtiments de ferme.
À l’exception des granges, tous les bâtiments sont des coquilles vides. Mis à part un plancher (chambranlant), on n’y retrouve rien d’autre que des murs en contre-plaqué et 2x4 apparents qui confirme que tout ceci est artificiel.
Il y a bien le magasin général qui contient certains éléments rappelant que des scènes ont été tournées à l’intérieur telles que des comptoirs et des armoires, mais tout ceci est très minimaliste et confirme que bien peu a été laissé derrière quand l’équipe de tournage a levé le camp.
Le dernier film québécois à avoir été tourné ici remonte à plusieurs années. Bien que le site continue à être utilisé à l’occasion, on voit clairement l’essoufflement des bâtiments que l’on retient parfois avec de gros billots. À d’autres endroits, le plancher a rendu l’âme, les murs tanguent dangereusement vers le sol et l’herbe haute reprend ses droits là où il n’y a pas si longtemps s’élevait un trottoir de bois ou un chemin.
Popularisé par l'émission Infoman de Radio-Canada, l'ancien consulat irakien de Montréal est abandonné depuis 1980. Construite 18 ans plus tôt par l'architecte Jacques Vincent, la maison est vendue au consulat d'Irak en 1979 pour la somme de 365...
Au-delà des beautés touristiques auxquelles nous sommes habitués lorsque nous visitons la Gaspésie, on y retrouve des centaines de maisons abandonnées qui témoignent de ces jours anciens où la région n’avait pas encore subi les foudres de l’exode...
Construit en 1923 par Helen Johnston, veuve de William Watson Ogilvie, le manoir comporte tous les éléments requis par la bourgeoisie d'époque. Il faut dire que son mari, William W. Ogilvie avait fait fortune dans le commerce des céréales et qu'à...
Cette maison, ça faisait déjà un bail que je rêvais de la faire. Non pas que de la rue elle témoignait d’un très grand intérêt, mais plutôt parce qu’elle en était si loin que je la voyais plus belle que les autres. Bref, on se courtisait elle et...