Construit en 1923 par Helen Johnston, veuve de William Watson Ogilvie, le manoir comporte tous les éléments requis par la bourgeoisie d'époque. Il faut dire que son mari, William W. Ogilvie avait fait fortune dans le commerce des céréales et qu'à...
Situé en pleine campagne au milieu d’un territoire où l’Homme a cédé la place aux moustiques et autres mouches noires qui vous dévore jusqu’à l’os, le plateau de tournage est composé de cinq maisons, une église et de plusieurs bâtiments de ferme.
À l’exception des granges, tous les bâtiments sont des coquilles vides. Mis à part un plancher (chambranlant), on n’y retrouve rien d’autre que des murs en contre-plaqué et 2x4 apparents qui confirme que tout ceci est artificiel.
Il y a bien le magasin général qui contient certains éléments rappelant que des scènes ont été tournées à l’intérieur telles que des comptoirs et des armoires, mais tout ceci est très minimaliste et confirme que bien peu a été laissé derrière quand l’équipe de tournage a levé le camp.
Le dernier film québécois à avoir été tourné ici remonte à plusieurs années. Bien que le site continue à être utilisé à l’occasion, on voit clairement l’essoufflement des bâtiments que l’on retient parfois avec de gros billots. À d’autres endroits, le plancher a rendu l’âme, les murs tanguent dangereusement vers le sol et l’herbe haute reprend ses droits là où il n’y a pas si longtemps s’élevait un trottoir de bois ou un chemin.
Construit en 1923 par Helen Johnston, veuve de William Watson Ogilvie, le manoir comporte tous les éléments requis par la bourgeoisie d'époque. Il faut dire que son mari, William W. Ogilvie avait fait fortune dans le commerce des céréales et qu'à...
Les régions se vident. Tout le monde le sait, tout le monde le dit. Les fermes sont de plus en plus grosses et pourtant, elles sont nombreuses à se spécialiser. Alors qu'au siècle dernier, on en avait une image buccolique (pour les gars de villes...
Popularisé par l'émission Infoman de Radio-Canada, l'ancien consulat irakien de Montréal est abandonné depuis 1980. Construite 18 ans plus tôt par l'architecte Jacques Vincent, la maison est vendue au consulat d'Irak en 1979 pour la somme de 365...
Ceci est l'histoire de monsieur Chaume et de sa maison. Une maison qui avait été vendue dans les années 1970 à mon beau-père, mais dont l'acte notarié précisait que Monsieur Chaume, le vendeur, pourrait habiter gratuitement dans la maison jusqu'à...