Acheté par le groupe MSSI, propriétaire du Mont-Saint-Sauveur, en 1999, ce dernier souhaitait initialement conserver une partie des glissades d’eau de Piedmont et y adjoindre des activités dites sèches, telles que de petits manèges. Or, après une...
Fermée en 1987, l'ancienne base militaire canadienne du Lac-St-Denis à Saint-Adolphe-d'Howard débuta ses opérations au cours des années 1950. Sa mission: surveiller l'espace aérien du sud-ouest du Québec et du Nord-Est de l'Ontario. Véritable vestige de la guerre froide entre le bloc de l'Ouest et le bloc de l'Est, cette base était opérée par le Canada dans le cadre du NORAD, à savoir le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (North American Aerospace Defense Command, ou NORAD).
Créé le 1er août 1957 sous le nom de « North American Air Defense Command », il devient le NORAD en mars 1981. Il s'agit d'une organisation américano-canadienne dont la mission est la surveillance de l'espace aérien nord-américain auquel s’ajoute, depuis mai 2006, une mission d'avertissement maritime qui nécessite un arrangement partagé des activités conduites par les deux nations sur les approches maritimes et les voies navigables.
La base militaire de Saint-Adolphe faisait partie de la ligne Pinetree (Pinetree Line) qui était constituée d'un réseau de 33 stations radars sous juridiction canado-américaine s’échelonnant le long du 49e parallèle afin de protéger l'Amérique du Nord d'éventuelles attaques aériennes en provenance de l'URSS.
Alors que les nouvelles technologies rendent les installations caduques, elles furent successivement remplacées par la ligne Mid-Canada et la Ligne DEW, chacune plus au nord.
Acheté par le groupe MSSI, propriétaire du Mont-Saint-Sauveur, en 1999, ce dernier souhaitait initialement conserver une partie des glissades d’eau de Piedmont et y adjoindre des activités dites sèches, telles que de petits manèges. Or, après une...
C’est à Uyuni, une petite ville d’un peu plus de 10 000 habitants et qui est située à plus de 3 670 mètres d’altitude que se trouve l’un des cimetières de trains les plus connus. Bon, il faut dire qu’on y trouve également le plus grand désert...
L’exploitation minière de la région s’échelonne sur plus de 5 000 ans. Le paysage, aujourd’hui transformé à jamais, a des allures extraterrestres où le rouge, le jaune, le violet se mêlent au vert, au gris et à l’ocre.
La dizaine de trains...
En 1937, nous sommes en plein âge d’or du cinéma et en ces terres gaspésiennes, le curé de ce petit village côtier rêve à un moyen de financer l’église moderne à laquelle il rêve. Convainquant les paroissiens de fournir le bois et le temps pour...