La saga de l'hippodrome de Blue Bonnets n'est pas sur le point de se terminer. Alors que la campagne électorale de la ville de Montréal de 2013 s'est faite en partie sur l'immense projet résidentiel écoresponsable que les élus désirent y...
En 1937, nous sommes en plein âge d’or du cinéma et en ces terres gaspésiennes, le curé de ce petit village côtier rêve à un moyen de financer l’église moderne à laquelle il rêve. Convainquant les paroissiens de fournir le bois et le temps pour construire un petit théâtre de 250 places, ce dernier ouvrira ses portes en 1938. On dénichera en Nouvelle-Écosse des sièges en fer forgé pour meubler la salle.
De construction sobre rappelant la structure des hangars de la région, l’intérieur est d’inspiration art déco. Rénovée au cours des années 1950, la salle est alors abondamment utilisée pour le cinéma, les fêtes irlandaises, des rassemblements politiques ainsi que pour du théâtre local.
Néanmoins, comme tant d’autres salles à travers le monde, son déclin s’amorcera avec l’arrivée de la télévision. L’exode rural et le vieillissement de la population viendront à bout de la salle qui n’est plus utilisée aujourd’hui que pour de très rares occasions. Malgré tout, un bénévole voué à sa sauvegarde réussit à maintenir le site en vie malgré le désintérêt de la communauté.
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