Construite dans les années 1930, la tour d'aiguillage Wellington a cessé ses activités en 2000. Malgré les années qui ont passées et les graffiteurs qui sont venu s'y exprimer, la structure de la vieille tour est encore bien droite. Lorsqu'elle...
On ne peut pas dire que l’endroit est dans une forme resplendissante. L’eau s’infiltre par chaque petit trou du toit au point d’offrir en cette froide nuit d’hiver une patinoire sur chaque étage. D’ailleurs, la glace doit faire plus de huit centimètres d’épais.
Au premier étage, les murs portent les traces d’un incendie qui semble s’être déclaré dans l’ancienne portion de l’usine. De la lumière extérieure s’infiltre via les trous dans la tôle et de rares graffitis ornent ses murs. Évalué à plus de 8 millions de dollars à la ville de Montréal, on devine que la dernière visite de l’inspecteur remonte à plusieurs années.
Mis en faillite en 2012, l’entreprise qui occupait les lieux semble l’avoir abandonné depuis un bon moment déjà. La machinerie a été extirpée du bâtiment, probablement vendue pour éponger les dettes de cette ancienne usine de fabrication d’huile alimentaire.
Aujourd’hui, le propriétaire légal est une entreprise immobilière fondée une année avant la faillite du précédent propriétaire et qui a pour nom l’adresse civique de l’endroit. Cette « nouvelle » entreprise est elle-même propriété de trois autres entreprises spécialisées dans les holdings et fonds commun de placement.
On devine donc que ses actuels propriétaires doivent être fortunés au point d’attendre le bon moment pour revendre leur bâtiment avec le bénéfice qu’ils jugeront adéquat. D’ici là, ce n’est pas demain la veille que le toit cessera de couler.
Construite dans les années 1930, la tour d'aiguillage Wellington a cessé ses activités en 2000. Malgré les années qui ont passées et les graffiteurs qui sont venu s'y exprimer, la structure de la vieille tour est encore bien droite. Lorsqu'elle...
Pour la région, il s’agit d’un vestige d’une ère industrielle aujourd’hui révolu. Alors qu’autrefois, l’usine offrait un salaire à près d’une centaine d’employés, le complexe est aujourd’hui cadenassé et désert, bien que surveillé par une...
De la motivation, il en faut pour se rendre à cette vieille mine et à cette fonderie abandonnées depuis 2002. Car il faut avouer qu’on est plutôt loin de tout dans cette lointaine municipalité de 650 habitants. D’ailleurs, si ce village existe, c...
Vendu 1$ en 2004 en échange d’une promesse de décontaminer le sol lourdement pollué, ce terrain de plus de 3,5 millions de pieds carrés n’a toujours pas trouvé la vocation commerciale et résidentielle promise par le Groupe March, l’actuel...