Comme toutes les belles histoires, celle des d'Alcantara commence par «il était une fois»... Un aristocrate belge d'origine espagnole, le comte Carlos d'Alcantara, est éperdument amoureux d'une jolie ballerine française. Ses...
C'était un garage, mais également une station-service Crevier, un lave-auto et une maison. Aujourd'hui, la grande bâtisse est abandonnée en entier. Des journaux et des magazines à l'intérieur laissent croire que ses propriétaires sont partis il y a environ deux ans. Parti à la sauvette, précisions. Dans la portion de la maison, plusieurs photos d'enfants trainent ici et là. Du côté du comptoir dans le commerce, on retrouve encore quelques magazines, des rouleaux de caisses enregistreuses et autres babioles que la pluie et la neige ont humectées à souhait.
Du côté du garage, il n'en reste plus qu'une grosse machine à laver. Les fils électriques ont été coupés un peu partout, comme s'il y avait encore du courant. Pour le reste, mis à part des déchets en grande quantité, il ne reste plus rien.
D'ailleurs, note à moi-même pour la prochaine fois: au lieu de me faxer de façon peu élégante dans les carreaux cassés des portes de garage, un petit tour derrière le commerce m'aurait permis d'entrer en toute discrétion.
Comme toutes les belles histoires, celle des d'Alcantara commence par «il était une fois»... Un aristocrate belge d'origine espagnole, le comte Carlos d'Alcantara, est éperdument amoureux d'une jolie ballerine française. Ses...
Non, ce cinéma ne porte pas ce nom, mais vous me permettrez ce clin d’œil au film de Giuseppe Tornatore qui relate l’histoire du cinéma de ses débuts à aujourd’hui. Puisque l’endroit n’a pas subi les foudres des vandales et qu’il n’y a aucun...
Abandonné en juin 2014, la vieille salle de cinéma n’avait plus que quelques éléments de décoration dont celle au plafond ainsi que sa devanture pour rappeler la vocation première de l’édifice. Il faut dire qu’une fois fermé en 1982, l’intérieur...
Ce qui avait commencé à la fin des années 1980 comme un dépanneur avec un tout petit coin resto était devenu une institution au niveau de la restauration dans le quartier. Clo se levait tous les matins à 4 heures...